proposition d'ateliers slam - demandez un devis

Projet Slam Poésie

associé au sport

à l'école

à la maison de retraite

D’où vient le mot slam ?

Ce mot vient de l’anglais « claquer ». Le slam, c’est de la poésie ouverte à tous. Elle claque quand on la dit en rime et en rythme. Le slam est né dans les années 80 aux Etats-Unis. Un écrivain de Chicago, Marc Smith a organisé des compétitions de poésie dans un bar, à la manière d’un combat de mots.

Public concerné :

-       Centres de vacances, centres sportifs, écoles , maisons de retraites, lycées....

-       De 7 à 97 ans

Compétences mises en œuvre :

-       Ecriture

-       Lecture  

-       Ecoute des autres

-       Prise de la parole en public

C’est bon pour :

-       La confiance en soi

-       Le moral

-       L’assurance

-       La tenue

-       La concentration

-       Le ressenti face à la difficulté ou l’échec

-       l’humour et la créativité

-       le respect des autres

-       la prise de parole en public

Les objectifs

Les ateliers d’écriture ludiques réunissent des participants autour du plaisir d’écrire. Il s’agit de produire du texte, et il n’y est guère question de progresser dans un domaine particulier.

Ils constituent néanmoins une expérience collective, d’échange et de partage, ainsi qu’une expérience d’écriture, et peuvent permettre aux participants de (re) prendre confiance, de (re) découvrir leur imaginaire…: ils visent principalement à travailler dans la recherche de «son écriture», son style propre, sa voix personnelle… vers l’autonomie.

Les ateliers d’écriture visant à un développement personnel sont axés sur l’expression de soi, de ses sentiments et émotions. L’écriture permet d’accéder à un bien-être, la lecture collective dans un micro permet de s’exprimer, de partager, de prendre confiance en soi. Le jugement est permis uniquement dans le but de s’améliorer, il n’est jamais négatif.

Les ateliers sont construits à partir de consignes d'écriture données par l’animateur à partir des mots, des désirs, des envies de chacun. Rien n’est imposé. Enfin, les participants sont accueillis avec leur projet personnel d'écriture, qu'ils développent grâce au soutien du groupe.

La durée, la périodicité

Une séance  dure environ deux heures en fonction de l’âge des participants.

L’écriture n’est que la consignation sur papier de ressentis, elle peut se faire sous différentes formes. Elle peut commencer sous forme de jeux de mots lors du déjeuner avec les enfants, après leur entrainement sportif et se prolonger.

-       Si les enfants sont fatigués après le repas et le sport, on peut les imaginer allongés dans l’herbe ou sur le parquet dans la salle, les yeux fermés qui jouent avec les mots, les associent, toujours sous forme de jeu. C’est l’animateur qui consigne sur papier. La deuxième partie de la séance sera consacrée à la mise en forme en rimes et en couplets.

-       L’atelier slam peut aussi démarrer dès leur arrivée le matin, au petit déjeuner. L’atelier peut être divisé en 2 séances d’une heure ou de 45 mn dans la journée. Ça permet de travailler l’imaginaire tout en faisant du sport

Tous les textes sont saisis par l’animateur ou les participants en fonction de l’âge, ils peuvent être affichés dans les locaux pour les partager.

La dernière séance des ateliers est réservée à un concours de slam entre les différents participants ou les différents ateliers le cas échéant avec la présence des parents et animateurs sportifs.

Conclusion

L’esprit, l’ambiance de l’atelier sont primordiaux

Ce qui prime c’est la bonne humeur, l’échange et surtout l’importance de positiver. Il est évident que  le ressenti après une séance sportive sera abordé et un échange sera établi pour améliorer sa capacité à se concentrer, à accepter l’échec ou l’erreur.

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